Culte du 20 septembre 2020 - Philippe Dubled

 

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Bienvenue à toutes et à tous.

Les psaumes, textes poétiques en plusieurs versets, parlés ou chantés, peuvent prendre différents caractères, laudatifs, combatifs ou repentants par exemple.

Aujourd’hui, pour ce temps de culte, je vous propose de ne chanter que des psaumes, tant il est vrai qu’ils peuvent nous accompagner en tout temps.

Il y aura beaucoup de cantiques, je profite de la présence de notre organiste.

Nous ne chanterons que les 2ères strophes de chaque cantique.

Nous resterons assis pour les temps de parole et les chants et ne nous lèverons que pour la bénédiction finale et le cantique de sortie.

Salutation :

Grâce, paix et miséricorde nous sont données de la part de Dieu notre Père et de Jésus-Christ notre sauveur.

Tu nous appelles, oh ! notre Dieu,

Tu nous rassembles en ce lieu,

Tu unis notre communauté en cet instant

Et tu es présent parmi nous.

Que cette heure soit un temps de paix, un temps d’écoute et un temps de louange ;

Un temps pour apprendre à vivre ensemble comme ton fils nous l’a enseigné et par là même au-delà de nos environnements étroits avec tous les hommes. Amen !


Chant N° 1 : Nous chantons le psaume 95 les strophes 1 et 2.

All : 95

Réjouissons-nous au Seigneur !

Louange :

Nous te louons Oh Père !

Car tu nous aimes, nous tes enfants.

Nous te louons Oh Père !

Pour ton fils que tu nous as donné pour proclamer la bonne nouvelle du Royaume.

Nous te louons Oh Père !

Pour ton Esprit-Saint qui nous rassemble malgré nos différences, et fait de nous un seul peuple, ton peuple.

Nous te louons Oh Père !

Car tu fais entrer en nous la joie de ton règne afin que nous puissions chanter ta gloire. Amen !


Chant N° 2 : Nous chantons le psaume 81 les strophes 1 et 2.

All : 81

Que nos chants joyeux !


Décalogue :

Sur Esaïe 58 écoutons comment Dieu veut être servi :



Voici le jeûne auquel je prends plaisir :

Détache les chaînes de la méchanceté,

Dénoue les liens de la servitude,

Renvoie libres les opprimés,

Et que l'on rompe toute espèce de joug ;

Partage ton pain avec celui qui a faim,

Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ;

Si tu vois un homme nu, couvre-le,

Et ne te détourne pas de ton semblable.

Alors ta lumière poindra comme l'aurore,

Et ta guérison germera promptement ;

Ta justice marchera devant toi,

Et la gloire de l'Éternel t'accompagnera.

Alors tu appelleras, et l'Éternel répondra ;

Tu crieras, et il dira : Me voici !

Si tu éloignes du milieu de toi le joug,

Les gestes menaçants et les discours injurieux,

Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim,

Si tu rassasies l'âme indigente,

Ta lumière se lèvera sur l'obscurité,

Et tes ténèbres seront comme le midi.

L'Éternel sera toujours ton guide,

Il rassasiera ton âme dans les lieux arides,

Et il redonnera de la vigueur à tes membres ;

Tu seras comme un jardin arrosé,

Comme une source dont les eaux ne tarissent pas.

Voici le jeûne auquel je prends plaisir :

Détache les chaînes de la méchanceté,

Dénoue les liens de la servitude,

Renvoie libres les opprimés,

Et que l'on rompe toute espèce de joug ;


Partage ton pain avec celui qui a faim,

Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ;

Si tu vois un homme nu, couvre-le,

Et ne te détourne pas de ton semblable.


Alors ta lumière poindra comme l'aurore,

Et ta guérison germera promptement ;

Ta justice marchera devant toi,

Et la gloire de l'Éternel t'accompagnera.


Alors tu appelleras, et l'Éternel répondra ;

Tu crieras, et il dira : Me voici !

Si tu éloignes du milieu de toi le joug,

Les gestes menaçants et les discours injurieux,


Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim,

Si tu rassasies l'âme indigente,

Ta lumière se lèvera sur l'obscurité,

Et tes ténèbres seront comme le midi.


L'Éternel sera toujours ton guide,

Il rassasiera ton âme dans les lieux arides,

Et il redonnera de la vigueur à tes membres ;

Tu seras comme un jardin arrosé,

Comme une source dont les eaux ne tarissent pas.

Chant N° 3 : chantons le psaume 25 les strophes 1 et 2.

All : 25

A Toi mon Dieu !

 

 

Confession des péchés :

L’amour de Dieu nous conduit maintenant à la repentance.

En ce premier jour de la semaine, nous portons nos regards vers toi O Seigneur !

Tu nous as donné le pain de chaque jour, tu nous as réjouis par ta création ; par ton Fils, mort pour nous, tu nous as assuré de ta miséricorde, mais nous ne savons pas te dire notre reconnaissance, nous ne savons pas tirer notre bonheur de ce que tu nous as donné.

Alors, Oh notre Dieu, pardonne-nous.

Même si tu nous as fait connaître la misère et les horreurs que l’homme donne à l’homme, et si tu as mis devant nos yeux souvent fermés les souffrances de nos frères et sœurs, nous y sommes restés insensibles.

Alors, Oh notre Dieu, pardonne-nous.

Même si tu nous as accompagné dans notre vie quotidienne, devant nos craintes et nos peurs souvent stériles, nous n’avons ni su te voir, ni su t’obéir.

Alors, Oh notre Dieu, pardonne-nous.

Fais-nous prendre conscience de nos faiblesses, de nos incohérences et de notre manque de foi, et, Oh Père, fais que nous ayons pour toi des cœurs reconnaissants, attentifs et disponibles pour ton service. Amen !

 

Chant N° 4 : Nous chantons le psaume 6 les strophes 1 et 2.

All : 6.

Seigneur qui voit la peine !

 

Annonce du pardon :

Quand les montagnes s’effondreraient, dit le Seigneur,

Quand les collines chancelleraient,

Ma bonté pour toi ne faiblira pas et mon alliance de paix ne sera pas ébranlée.

Je t’aime d’un amour éternel, et je te garde ma miséricorde.

Et voici comment Dieu a manifesté son amour :

Il a envoyé son fils unique dans le monde, afin que, par lui, nous ayons la vie.

Que Dieu mette en nous l’assurance de son pardon et qu’il nous donne de marcher dans la foi, l’amour des autres et la justice vers son royaume.

 

Chant N° 5 : Chantons notre reconnaisse avec le psaume 66 les strophes 1 et 2.

All 66.

Vous tous les peuples !



Prière avant les lectures et prédication :

Père, ta parole est pour nous ferment du royaume et germe d’espérance.

Que par ton Esprit, nous la recevions avec simplicité et avec joie.

Que cette parole nous fasse porter les fruits que tu attends de nous.

Nous te le demandons par ton Fils, notre Seigneur. Amen.

 

Avant les lectures et la prédication nous élevons aussi vers Dieu notre prière en chantant assis : 

 

Chant N° 6 : nous chantons le psaume 42 les strophes 1 à 2.

All : 42A.

Comme un cerf altéré brame !


Lectures :

Epître de Paul aux Romains 12 :

Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.

Epître de Paul aux Colossiens 2 :

Ils ont, à la vérité, une apparence de sagesse, en ce qu'ils indiquent un culte volontaire, de l'humilité, et le mépris du corps, mais ils sont sans aucun mérite et contribuent à la satisfaction de la chair.

Epître aux Hébreux 9 :

La première alliance avait aussi des ordonnances relatives au culte, et le sanctuaire terrestre.

Epître aux Hébreux 10 :


En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l'exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu'on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.


Autrement, n'aurait-on pas cessé de les offrir, parce que ceux qui rendent ce culte, étant une fois purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de leurs péchés ?

Epître aux Hébreux 12 :

Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle ; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux,

Lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse : Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel.

Ces mots : Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent.

C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable.


Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle ; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux,


Lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse : Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel.


Ces mots : Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent.



Prédication :


Ce temps de culte, à part dans nos vies, ce temps que nous consacrons à autre chose que notre quotidien pour l’offrir à Dieu, j’ai voulu aujourd’hui le tourner vers la recherche de ce qu’est pour nous le culte, et donc nous poser la question : Quel est le sens du culte ? Question d’autant plus importante que pendant une longue période nous n’avons pas eu de culte.


Au-delà d’une simple définition donnée par un dictionnaire, comme le Larousse par exemple qui définit le culte comme « un hommage que l’on rend à son Dieu », il convient de se poser les questions de savoir ce que nous attendons d’un culte et quel sens nous lui donnons.


La réponse à cette question est pour beaucoup individuelle et très personnelle, mais je vais tenter une analyse globale du sujet.


On admet généralement que, dans les religions anciennes, le culte a pour but d’établir et manifester par ses symboles et ses rites une relation entre Dieu et l’homme, ou plutôt en les hommes et Dieu, puisque ce sont eux qui sont dans la recherche et l’espérance.


Pour cela on pouvait, et on a toujours d’ailleurs recours à toutes sortes de formes de culte, des plus simples jusqu’au plus surprenantes, recours à la magie, aux sacrifices, à de nombreux rituels. Ceux-ci sont toujours présents, parfois en grand nombre dans certains rituels des églises d’aujourd’hui, et ils peuvent surprendre bien des non-initiés en nous laissant parfois incrédule.



A tout cela on peut rajouter la prière qui crée un lien direct entre l’homme et la divinité, prière par les chants ou encore par la parole.


Le culte crée ainsi une relation que l’on imagine et espère à double sens profitable aux deux parties, l’homme ayant besoin de Dieu et l’inverse, dans un principe de je te donne si tu me donnes, même si cela donne un aspect mercantile à cette relation.


Sur ce principe de base, les pratiques religieuses bien que multiples sont en fait d’une similitude de fond frappante. Cela résulte du fait que l’homme quelques soient ses origines ethniques, géographiques ou sociales se heurte aux mêmes mystères, s’interroge sur les mêmes phénomènes qui sont les diverses étapes normales de l’existence humaine comme par exemple :


  • La succession du jour à la nuit

  • La rythme des saisons

  • Le cours des astres


Mais aussi plus profondément et plus actuel :


  • Le sens de la vie

  • Le sens de sa propre vie

  • Ou encore la mort, sa propre mort et l’au-delà.


Un peu partout se pratiquent donc des rites relativement semblables d’initiation, de purification ou autres.


L’ancien testament n’échappe pas à la loi commune. On retrouve donc dans le culte, tel que les écritures le présentent, d’étranges similitudes avec les cultes païens. Temps sacrés comme le shabbat, lieux sacrés comme certaines montagnes ou villes, personnes sacrées comme les prêtres et lévites, actes sacrés de soumission avec la circoncision par exemple, distinction entre Jours fastes et néfastes, ou encore des cérémonies comme les cultes de moisson devenus par la suite procession ou encore la distinction entre animaux purs et impurs et même au regard de la femme entre temps purs et impurs que je vous laisse le soin de définir.


Mais l’ancien testament va plus loin que les cultes païens. Le culte, service que le peuple doit à son Dieu, ne se limite pas à quelques cérémonies, ou gestes rituels, à quelques prières récitées par habitude plus que par conviction, il s’étend à tous les plans de la vie humaine comme en témoigne les textes relatifs à la Loi ou aux lois.


Pensées, labeurs quotidiens et adoration de Dieu sont étroitement liés et font et doivent faire partis d’un vaste service que Dieu attend de son peuple dont la vie doit être un acte cultuel permanent en son honneur.


Une autre différence existe entre le culte de la religion d’Israël et celles des autres peuples de l’antiquité, c’est que servir Dieu c’est avoir affaire à quelqu’un, un Dieu avec lequel on peut parler et non pas une simple force cosmique, mais, un Dieu vivant qui intervenant dans la vie de l’homme le constitue en un peuple élu, choisi, pour « sauver le monde ».


Israël ne doit donc son existence qu’à la faveur divine pour être témoin du Dieu vivant d’où une alliance scellée entre les deux qui détermine les relations entre le peuple élu et son Dieu, même si l’alliance peut sembler faussée du fait que l’un obéit et l’autre ordonne et que servir Dieu est reconnaitre son autorité en tout temps et dans tous les domaines.


Mais, un premier drame est déjà sous-jacent lorsque les fidèles s’imaginent pouvoir enfermer Dieu, le liant à certains objets, certaines personnes, les seuls prêtres par exemple, qui sous prétexte de servir Dieu mieux que les autres se servent en fait eux-mêmes. Ces dérives se sont maintenues et il faut bien l’admettre se maintiennent encore aujourd’hui.


Puis vient un deuxième drame lorsque sous couvert de religion, le peuple finit par s’adorer lui-même, ce qui entraîne en réaction l’apparition de prophètes, sorte de gardien de la loi, qui sont souvent tout simplement brulés comme hérétiques. Ils ont pourtant pour mission quasi divine de replacer le peuple élu devant toutes les exigences et toutes les promesses du vrai Dieu jaloux et exclusif.


De plus, les prophètes rappellent que Dieu ne se laisse pas acheter, même par une multitude de sacrifices ou les ors de cérémonies prestigieuses. Pauvreté ou richesse de l’Eglise, ou pauvreté ou richesse du culte lui importent peu, il est au-dessus de tout cela. Je suis persuadé au plus profond de moi-même, que le Seigneur repousse ces cultes pervertis pour exiger une vie, une foi, un culte qui respecte la simplicité, le respect de la loi divine, l’amour des autres et la miséricorde.


Mais, les prophètes loin de chercher à remplacer les pratiques religieuses par un code d’éthique moralisateur et rigoriste, ne cherchent qu’un culte du peuple élu à son Dieu qui soit le rendez-vous des fidèles avec lui en attendant que vienne son règne dont tous prêchent la venue ou le retour.


Il convient toutefois de rappeler que pour nous, les réformés, le mot culte ne désigne pas que le service dominical, mais tout moment de parole, d’écoute et d’enseignement. Il y a donc là une originalité qui fait que le culte n’est pas tant un hommage à Dieu, qu’un rendez-vous avec la parole, comme si Dieu faisait un mouvement vers l’homme et non l’inverse, ce qui était et reste novateur.


Partant de là donc, le fidèle ne vient pas au culte pour exposer ses sentiments ou ses requêtes par des prières plus ou moins sincères, il y vient pour entendre ce que Dieu veut lui dire, nous donnant pour but de comprendre ce que Dieu est et ce qu’il veut de nous.


Le culte devient donc convocation de l’homme par Dieu et non évocation de Dieu par l’homme. Dieu y est à la fois sujet et acteur. Le culte est donc institué par Dieu pour l’homme et non l’inverse.


Dieu n’a donc nul besoin de nos prières, de nos liturgies et de nos chants, c’est nous qui en avons besoin pour exprimer la foi, la parole, le pardon et la divine miséricorde qu’il nous donne. Et jusqu’à ce jour nous n’avons rien trouver de mieux que les prières, la liturgie et les chants pour remercier Dieu de ce que nous recevons.


Le culte n’est donc pas un devoir à accomplir pour se mettre en règle avec Dieu, mais un acte de Dieu qui vient à notre rencontre, c’est une grâce, un don, non une contrainte ou une obligation.


Force-nous est de constater que le culte dominical se marginalise, mais, il ne faut pas craindre sa disparition, car il a été, il est et il perdurera sous une forme ou une autre.


L’Eglise est une communauté cultuelle, qui en tout lieu et en toute circonstance et de toute manière peut se réunir pour proclamer devant Dieu l’écoute attentive de sa parole.


Amen !


Temps musical.


Puis :


Chant N° 7 : Nous chantons le psaume 47 les strophes 1 et 2.

All : 47A.

Frappez dans vos mains !


Confession de foi :

Rassemblés et éclairés, nous te disons :

Je crois en Jésus-Christ, le fils unique de Dieu, qui s’est fait homme pour que nous ayons pardon, joie et salut.

Je crois à sa mort et sa résurrection pour nous donner la victoire sur la mort et l’assurance de notre propre résurrection.

Je crois qu’il reviendra dans la puissance et la gloire, comme il est venu dans la faiblesse et l’humilité.

Par lui, je crois au Père qui nous prend pour ses enfants et nous aime comme Il aime Jésus-Christ.

Je crois en l’Esprit Saint qui agit en nous et atteste que nous sommes fils de Dieu. Il guide l’Eglise par les Evangiles et nous révèle la gloire du Christ.

Je crois l’Eglise universelle, visible et invisible, pécheresse et pardonnée.

Je crois que nous sommes tous liés à Christ, et je crois que le Royaume de Dieu est notre commune espérance. Amen !


Chant N° 8 : Nous chantons le psaume 46 les strophes 1 et 2.

All : 46.

Dieu est pour nous une forteresse !


Offrande :

L’Eglise vit de l’esprit, mais fonctionne avec vos dons.

Que chacun donne selon son cœur, sans chagrin ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie.

Les corbeilles situées à la sortie pourront recevoir vos offrandes.

Dieu, notre Père, reçois l’offrande que nous te présentons, pour que dans le service de nos semblables, elle serve à ta gloire et au bien de ton Eglise. Amen.

 

Annonces :


Nous écoutons maintenant les annonces relatives à la vie de notre communauté.


Prière d'intercession :

Père, nous te prions pour celles et ceux qui ont faim, et fais-nous découvrir le partage.

Nous te prions pour les immigrés et les exilés, que nous puissions les accueillir avec leurs différences.

Nos te prions pour les solitaires, que nous puissions soulager leur souffrance.

Nous te prions pour les méprisés et tous ceux auxquels nous manquons souvent de respect.

Nous te prions pour les malades, inspire-nous de leurs offrir une présence.

Nos te prions pour tes Eglises, puisses-tu les unir dans une même prière.


Temps de silence.

Et tous ensemble nous te disons :

Notre père qui aux cieux…

 

 

Chant N° 9 : Nous chantons le psaume 36 strophes 1 et 2.

All : 36.

Oh Seigneur ta fidélité !


Nous nous levons.


Bénédiction :

Béni soit Dieu,

Il nous donne sa Parole pour que nous l’entendions,

Il nous a promis son royaume pour que nous espérions.

Allons tous, frères et sœurs unis dans une même Foi sur le difficile chemin de l’adoration.

Le Seigneur de la paix nous donne lui-même la paix, en tout temps et de toute manière.

Allez dans la joie.


Chant 10 : Avant de nous séparer nous chantons debout :

Le psaume 67 les strophes 1 et 2.

All : 67 A.

Que Dieu vous bénisse et vous garde !


Philippe DUBLED









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