Culte du 1er Novembre - Re-confinés -LCronfalt

 


Introduction musicale – Cello suite n°1 in GMajor, Prélude, BACH

https://www.youtube.com/watch?v=1prweT95Mo0

 

Bonjour à chacune et à chacun,

Comme vous le savez maintenant tous, nous allons recommencer à vivre nos cultes exclusivement à distance. Malgré la tristesse de ne pouvoir nous réunir, vivons le réconfort de nous savoir en communion de pensées et de prières les uns avec les autres.

Malgré la distance, la communauté vit. Nous l’avons vu lors du premier confinement, les liens ne disparaissent pas, ils évoluent et se renforcent toujours malgré les événements qui peuvent nous décourager.

 

Aujourd’hui j’aimerais partager avec vous à la fois ce sentiment de tristesse mais aussi de joie de nous savoir toujours reliés avec autant de force par l’amour de Dieu, par l’espérance qu’il fait naître en nos cœurs de ne jamais être seul(e).

 

A chacun de vous, à chacune des familles qui se retrouve loin, Dieu vous offre sa paix. Il est avec vous, avec chacun. La grâce de Dieu est donnée à tous gratuitement.

C’est le message principal pour lequel se sont battus les réformateurs, c’est le message auquel nous croyons aujourd’hui : chacun est libre d’accepter ce don.

 

 

Chants :

Je vous invite à chanter notre joie de pouvoir croire en un Dieu proche de nous :

·         Tournez-les yeux : https://www.youtube.com/watch?v=XPAnmXBJnH4

·         Maranatha! Viens, Seigneur viens ! - https://youtu.be/kvmiXYrM2fs

 

 

Louange : entrons dans un temps de reconnaissance avec le Psaume 34 (NBS) :

 

Je bénirai le Seigneur en tout temps ; sa louange sera constamment dans ma bouche.

Je mets ma fierté dans le Seigneur ; les pauvres entendent, ils se réjouissent !

Magnifiez le Seigneur avec moi, exaltons ensemble son nom !

 

J’ai cherché le Seigneur, et il m’a répondu ; de toutes mes frayeurs il m’a délivré.

Ceux qui regardent vers lui sont radieux, et leur visage n’a pas à rougir.

Quand un pauvre crie, le Seigneur entend et il le sauve de toutes ses détresses.

Le messager du Seigneur dresse son camp autour de ceux qui le craignent,

et il les délivre.

 

Goûtez, et voyez combien le Seigneur est bon ! Heureux l’homme qui trouve en lui un abri !

 

Des lieux profonds je crie vers toi, Ecoute O Dieu ma plainte

Ouvre l’oreille, entends ma voix, viens dissiper ma crainte

 

Jésus,

Par ta vive clarté, tu viens nous illuminer.
Éclaire notre sombre nuit.

Par toi notre lumière luit.

 

Le Fils du Père, Dieu de Dieu,

vient à nous du haut des cieux,    

Nous sort de l'ombre de la mort et nous conduit tous à bon port.

Parmi nous pauvre et méprisé, du plus faible il prend pitié.
Il l'enrichit des biens du ciel et l'introduit chez l'Eternel.

C'est pour nous qu'il fit tout cela, son amour il nous montra ;
Réjouissons-nous en ce jour : Jésus soit béni pour toujours !

Amen

 

D’après la traduction d’un cantique écrit par Martin Luther,

Gelobet seist du, Jesus Christ -1524

 

Chants : Chantons notre reconnaissance

·         O Seigneur ta fidélité (Ps 36) : https://www.youtube.com/watch?v=L3Vk2CBgvTo

·         Grandes et merveilleuses : https://www.youtube.com/watch?v=4UV50P_HS84&t=35s

 

Illumination 

 

Seigneur,

Ta Parole est pour nous annonce de ta grâce et don d’espérance.

Nous te prions :

Que par ton Esprit, nous la recevions avec simplicité et avec joie.

Qu’elle éclaire nos cœurs de ta lumière et illumine nos vies de ton amour et de ta paix.

Amen

 

Lecture : Jean 8,1-11.

 

En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers.
Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. 


Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. 

 

Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » 

Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.

Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu.
Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » 

 

Méditation

 

Je vous propose de réfléchir à ce texte en quatre temps :

En nous posant la question de ce que représente la femme adultère, à l’attitude des pharisiens, à la réaction de Jésus et à ce que peut représenter l’histoire de la femme adultère aujourd’hui pour nous.

 

·         Que peut représenter la femme adultère ? 

 

Il est souvent de mise de travailler ce texte à partir de l’acte même d’adultère, en dénonçant ce qui est pointé comme une faute et l’objet de la condamnation.

J’aimerais vous proposer de lire ce texte un peu autrement en éloignant, comme Jésus le propose dans ce texte, l’idée même du jugement.

Commençons alors avec cette femme. Le récit nous montre une femme condamnée pour une action, un choix qu’elle a fait. Une femme qui s’est trouvée face à la question de la fidélité : être fidèle ? et à qui ? pour quoi et pour qui être prêt à être jugé et condamné ?

Cette question fait écho en moi à ce que nous vivons aujourd’hui.

Alors que notre société se trouve déchirée entre revendication de liberté (d’expression, de circulation, etc.) et respect des limites (choisies ou imposées), il se trouve que la question de la fidélité posée à cette femme se pose également à nous : à quoi et à qui voulons-nous/choisissons-nous d’être fidèles aujourd’hui ? à des valeurs, à une théologie, à Christ, etc. ?

Aujourd’hui la question pourrait se poser de la manière suivante : essayer de braver la limite posée par désir de liberté ou choisir de respecter ce qui est imposé en espérant que cela mènera notre société vers le mieux.

Vous l’aurez bien compris il s’agit de toucher au sens que chacune de nos actions peut avoir.

 

La question qui s’est posée à moi pour ce dimanche a été celle-ci : Cela a-t-il plus de sens pour moi de faire un culte avec les paroissiens de ma paroisse ou alors de vivre ce temps à distance en espérant sauver des vies ?

Cette question beaucoup de gens se la sont posés et bien que parfois les réponses diffèrent, je dois dire que l’histoire de cette femme m’a inspirée.

À quoi dois-je rester fidèle : à mon envie de vous retrouver ou à autre chose ? Ma réponse a donc été celle-ci : s’il y avait une petite chance, aussi mince soit-elle, que je puisse participer à protéger la vie que nous annonçons chaque dimanche, en témoignant respect et soin envers elle, ce serait là le choix que je choisirais malgré les controverses.

Bien évidemment, je ne compare pas mon choix à celui de cette femme mais comme elle, je me trouve devant un dilemme. A qui et à quoi choisit-on d’être fidèle ?

 

Bien sûr, il n’est pas possible d’ignorer que cette question de la fidélité nous titille tous car bien évidemment nous voulons dénoncer l’infidélité ! et c’est justement là qu’intervient l’enseignement de Jésus qui nous dit que le jugement ne nous appartient pas. « Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ». Notre tâche consiste à respecter les valeurs qui sont les nôtres.

 

 

·         L’attitude des pharisiens : Une attitude qui nous parle ? ce qu’elle met en avant. Quelle image de la justice nous donne-t-elle?

 

Ah ! Ces pharisiens ! Et cette attitude de jugement qui peut-être la mienne, je l’avoue, sur le coup de l’impulsivité : quelle trahison cette femme n’a-t-elle pas commis ! Mais, avec du recul, c’est bien facile de juger d’une situation que je ne connais pas même si, sans doute comme vous, l’infidélité n’est pas une valeur que je défends.

Mais il y a aussi autre chose que le jugement dans leur attitude. Il faut souligner cette volonté, peu cachée des pharisiens, de vouloir piéger Jésus en le mettant face à des lois et des traditions. Ils savent que Jésus ne peut aller dans le sens de cette femme et du choix qu’elle a fait. Ils cherchent à faire tomber la sentence de la bouche de Jésus. Cela rangera enfin Jésus de leur côté aux yeux des « dissidents » qui suivent son enseignement « peu orthodoxe ».

Du moment que Jésus ne réagis pas comme ils l’espèrent : les voilà sans voix. Piégés dans leur propre piège. Les pharisiens ne sortent pas de ce cadre. Ils se retrouvent face à un homme qu’ils ne comprennent pas. Ils sont immobilisés par le déplacement que Jésus pourrait les amener à faire. 

Leur logique reste une logique de la loi. On a une règle et on l’applique. Leur justice est donc celle-ci, une désobéissance = une condamnation. Une justice qui ne cherche pas à voir l’individu, ni à comprendre son acte. Une action amène forcément une réaction. Une entorse à la loi, une punition.  Cette justice est une justice figée à la règle qu’elle applique. 

Cette attitude est relativement complexe car elle annonce une Vérité-sûre et manifeste un réel refus de remise en question. Pourtant, nous le savons, les événements nous invitent parfois à nous remettre en question et à faire évoluer nos cadres en fonction de ce qui est.

Ce que nous vivons est une véritable remise en question de nos habitudes, de nos façons de vivre et de comprendre l’église. Ce re-confinement nous semble être une nouvelle barrière à notre façon de vivre et partager la foi. Notre défi aujourd’hui est de se libérer d’une logique figée pour proposer de nouvelles choses, des alternatives riches en partage et apprentissage. C’est notre défi une fois encore.

·         La réaction de Jésus : est-elle surprenante ? qu’aurions-nous attendu de lui ? Qu’est ce que sa réaction donne à comprendre de la situation de la femme adultère ?

La réaction de Jésus nous interpelle. Les pharisiens lui donnent deux options : condamner ou gracier la femme.

Jésus ne répond pas comme les pharisiens lui demandent. Il vient déplacer la donne. Il n’adhère ni à l’une, ni à l’autre de ces possibilités. Il va simplement écrire sur le sol, en silence.

Il met ainsi les pharisiens dans la surprise et l’embarras. Il les place devant une alternative qui les oblige à s’interroger sur eux-mêmes, leur propre action, leur propre situation. Il dit ces quelques mots :  « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre ». 

Il les place alors devant leur propre justice. Et leur annonce que dans le cas où ils décideraient de condamner la femme, ils seraient à même de se condamner eux-mêmes pour leurs erreurs passées.

Cette réponse, il nous la fait à nous aussi lorsque nous avons du mal à nous remettre à question ou à envisager positivement de nouvelles alternatives : que celui à qui il arrive de se tromper cherche les réponses qu’il ne trouve pas ailleurs.

Il ne s’agit pas de ne plus chercher dans ce qui fait ressource pour nous, mais il s’agit de chercher autrement. Dans le silence, dans l’écoute et surtout dans la certitude qu’il existe une alternative qui peut nous faire avancer ensemble.

Cette alternative ne sera probablement pas parfaite mais c’est celle que nous cherchons jour après jour pour garder dynamique notre foi et notre vie communautaire.

 

·         La vision que Jésus nous donne de la Justice : Quelles visions Jésus défend-il ? pourquoi ? Laquelle des deux justices présentées nous parle le plus ?

 

La justice que Jésus apporte avec lui est une justice en mouvement. Une justice de Vie. Une justice qui s’applique en reconnaissant l’individu et en lui laissant une chance de déplacement, de changement. Une chance de se remettre en question et de trouver des voies nouvelles.

 

Jésus ne propose pas une sentence mais offre à la femme la grâce de ne pas se limiter à l’action qu’elle a commise. Sa justice lui offre d’apprendre de ses erreurs, de changer et surtout de vivre. De vivre une vie dans laquelle elle pourra s’épanouir et rester fidèle à ce qu’elle est, ce qu’elle croit, et fidèle à ceux qu’elle aime. 

La justice de Jésus est donc une justice en mouvement. Il n’y a pas de règle et d’application figée. Seulement une offre : celle d’apprendre de nos erreurs. Celle d’avancer sur le chemin de la vie. Cette justice est une justice de vie et de grâce. Une justice qui ouvre devant nous « un avenir et une espérance ».

Amen

 

 

Musique : Mon âme cherche ta présence : https://www.youtube.com/watch?v=OOAkvLuEbhI

 

Confession de foi

 

Nous croyons tous en un seul Dieu,

qui fit le ciel et la terre.
pour ses enfants, en chaque lieu,
Il est devenu le Père.
      

Il veut nous nourrir sans cesse,
Garder nos corps et nos âmes,
Nous préserver des détresses,
Du mal, des coups et des larmes ;
De nous, il prend souci, veille au soir :
Toute chose est en son pouvoir.

Nous croyons tous en Jésus-Christ,
Son Fils et de même gloire,
Qui, près de Dieu, siège et régit,
Seigneur depuis sa victoire.
Il naît de Marie, la Vierge,
Et devient en elle un homme
Par l'Esprit-Saint qu'il héberge.
Pour nous pécheurs il rend l'âme.
Il meurt sur une croix.  De la mort

Et du tombeau, par Dieu, il sort.

 

Nous croyons tous au Saint-Esprit,
Dieu avec Christ et le Père,
Qui vient en aide à notre esprit
 Par ses dons et sa lumière.
 Il fait l'unité des frères,
 Il absout et il pardonne
 A tous les chrétiens sur terre,
 Les fait vivre et les couronne.
 A la fin les fait hériter
 Vie et paix dans l'éternité.
  Amen.

D’après la traduction d’un cantique écrit par Martin Luther

Wir glauben all an einen Gott -1524

 

Intercession 

 

Nous nous unissons dans la prière d’intercession :

 

Seigneur Jésus,

tu as voulu nous aimer jusqu'à l'extrême.

Pour nous, tu t’es engagé tout entier, tu as donné toute ta vie.

Merci, Seigneur, de nous aimer à ce point.

Merci de nous ouvrir à ta présence en nous aimant encore et toujours.

 

Il nous est parfois difficile d'aimer, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

 

Quand nous sommes portés à nous diviser et à nous opposer, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Quand nous sommes portés à déterrer le passé au lieu de pardonner, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Quand nous sommes tentés de nous laisser vaincre par la haine, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Quand nous craignons de nous faire exploiter, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Quand la pandémie n’en finit pas, quand les égoïsmes se manifestent et que les archaïsmes identitaires s’affirment jusqu’au paroxysme de la violence dans des attentats meurtriers.

Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi et rends nous fiers dans les épreuves.

Pour que le monde croit que tu es toujours vivant, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Pour que l'humanité soit sauvée de la violence, de la guerre et du désespoir, mais aussi de sa bonne conscience et de son hypocrisie, Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

Pour que nous soyons vraiment tes disciples. Seigneur, apprends-nous à aimer comme toi.

 

Nous te remettons nos familles, notre communauté, ton Eglise.

Nous te prions pour les familles victimes de l’attentat qui s’est déroulé jeudi dernier à Nice.

Nous te confions les victimes de la pandémie ainsi que toutes les familles qui vivent un deuil aujourd’hui.

Nous te confions notre monde et son avenir.

 

Et c’est ensemble que nous te prions cette prière que tu nous as enseignée :

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent le Règne, la Puissance et la Gloire.
Pour les siècles des siècles. 

Amen

Annonces

-          Nous vous rappelons l’annulation de toutes nos activités d’église en présentiel pour la durée de ce nouveau confinement.

 

-          Nous continuons à vous faire parvenir une lettre de nouvelles par semaine ainsi qu’un culte le dimanche par e-mail, via le blog de la paroisse (http://epusavoie.blogspot.com/ ) ainsi que sa page Facebook (https://www.facebook.com/EgliseProtestanteUniedeSavoie )

 

-          Nous vous rappelons que nous restons disponibles pour des rendez-vous par téléphone. Vous pouvez nous contacter pour vous-mêmes ou pour d’autres que vous savez intéressés aux coordonnées suivantes :

pasteur.roullandrupp@orange.fr : 0667885833 

lcronfalt@gmail.com : 0688746783

                                        

 

ACTION DE GRACE

-          Mme Tonda est décédée. Nous avons accompagné sa famille vendredi dernier dans un culte d’action de grâce.

 

-          Nous avons appris le décès de Mme Corinne Brunner. Nous allons accompagner sa famille dans un culte d’action de grâce le 5 novembre prochain.

Nous pensons à leurs familles et prions pour que Dieu leur donne sa paix et sa consolation.

Offrandes : le mot du trésorier, Daniel Claret

 

Seigneur, nous sommes reconnaissants pour toutes tes bontés. Notre foi en Christ nous amène à partager le fruit de notre travail. Donnons ensemble pour notre Eglise dans la joie fraternelle.

 

Vous pouvez concrétiser votre offrande en :

2.      Adressant un chèque à l’ordre de l’E.P.U. Savoie 14 rue de la Banque 73000   Chambéry.

3.      Effectuant un virement sur le compte de l’Eglise IBAN N° :

FR76 1810 6008 1083 1329 8805 026 BIC AGRIFRPP881.

 

Envoi et bénédiction

 

Béni soit Dieu,

Il nous a donné sa Parole pour que nous l’entendions,

Il nous a promis sa grâce pour que nous espérions.

Il nous donne l’espérance pour qu’avec fierté, nous traversions les épreuves.

 

Allons, avec nos soeurs et nos frères, dans l’audace et l’adoration, « la joie de Dieu sera votre force »

 

« Le Seigneur de la paix nous donne lui-même la paix, en tout temps et de toute manière ».

Amen

 

Cantique :

A toi la gloire : https://www.youtube.com/watch?v=P1qX28DN5z0

                                                                                                                           

Nous vous souhaitons de la patience et du courage pour ce re-confinement. N’hésitez pas à nous solliciter si besoin.

Prenez soin de vous, très fraternellement,

 

Lauriane Cronfalt

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