Culte du 8 novembre - culte 'autrement' commun - Avisé.e ou insensé.e ?


 

La liturgie de ce culte a été préparée par les paroissiennes d'Albertville... le culte commun était prévu initialement à Albertville... Merci à elles !


Accueil
Nous tous qui sommes là, souvenons-nous que nous sommes les invités de Dieu ; Souvenons-nous que nous sommes tous conviés au même festin. Pauvre ou riche, jeune ou vieux, malade ou bien portant, triste ou joyeux, à nous tous sont données la grâce et la paix du Seigneur.
Le Seigneur est présent parmi nous. Le Seigneur nous rassemble.
Le Seigneur nous unit.
Que son amour nous habite,
Que sa présence nous éclaire.
Que sa Parole nous fortifie.
 
Louange - Psaume 23 / version japonaise
Le Seigneur rythme mon pas, point de course !
Il me ménage des pauses, des moments de calme.
Il m’évoque des images de paix qui restaurent ma sérénité.
Il me mène au chemin de l’efficacité dans la liberté de l’esprit et son allure est ‘pacifiante’.
Aurais-je quantité de choses à faire, je ne vivrai pas sur les nerfs, car il est là.
Il me prépare fraicheur et renouveau, alors que j’ai tous les jours à me battre.
Et ma coupe déborde d’un joyeux dynamisme.
Oui, j’en suis sûr, harmonie et réussite rythmeront mes heures
Et je marcherai tous les jours au pas du Seigneur.
Amen

Psaume 92 - Oh que c’est chose belle ! - https://youtu.be/dxFfMCKiJus 

Prière de repentance - Alain Arnoux
Seigneur Jésus-Christ,
je le crois ;
tu es venu nous rejoindre
au fond de nos abîmes,
tu es venu partager
nos désespérances
et ta résurrection,
tu es entré dans nos tombeaux
pour nous en faire sortir.
Quand nous cherchons Dieu très haut,
tu es avec nous très bas.
Tu nous rejoins là
où personne d’autre que toi
ne peut nous rejoindre,
tu nous entraînes là
où personne d’autre que toi
ne peut nous entraîner.
Je le crois et je te loue, Seigneur.
Maintenant, dans l’impasse où je suis,
je veux t’accueillir
et je veux me laisser tirer
vers ta vie.
Je te le demande :
toi qui me rejoins,
tire-moi vers toi,
car je veux vivre.
Je crois, Seigneur.
Viens au secours de l’incroyant que je suis.
Amen

Pardon
Ecoutons les paroles de grâce du Seigneur :
Toi, Seigneur, tu viens, tu me prends dans tes bras comme on ferait pour un enfant ou pour un grand malade.

Je t’aime nous dit le Seigneur.
Tu es à moi.
Je suis blessé de ce qui te blesse.
Je te dis ma tendresse.
Tu es cher à mes yeux.
Je voudrais être le Seigneur de ta vie et te donner ma paix.
Je peux t’émouvoir, te consoler, te guérir, te protéger.
Laisse-moi déposer la Parole de mon Amour au plus profond de ton coeur,
et surtout : garde le son de ma voix.
Maintenant, reprends ton chemin avec confiance.
Je suis avec toi.

Cantique
- Le Seigneur seul est ma lumière (ARC 748) - https://youtu.be/GP6L1aAEDJ8
- Mon ancre et ma voile - https://youtu.be/nuFXgdNMgFU

Prière d’illumination
Fais-nous grâce d’écouter ta Parole avec attention et respect, avec un vrai désir de recevoir ce qu’elle promet et de pratiquer ce qu’elle ordonne.
Grave-la, non seulement dans notre esprit, mais encore dans notre coeur,
et transforme-nous par ton Esprit, à l’image de ton Fils, en nous faisant contempler ta gloire. Amen

Lectures
        Matthieu 25, 1-13
1 Alors le règne des cieux sera comme ces dix vierges qui avaient pris leurs lampes pour aller au-devant du marié. 2 Cinq d'entre elles étaient folles, et les cinq autres étaient avisées. 3 Les folles, en prenant leur lampe, n'avaient pas pris d'huile avec elles ; 4 mais celles qui étaient avisées avaient pris, avec leur lampe, de l'huile dans un récipient. 5 Comme le marié tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. 6 Au milieu de la nuit, il y eut un cri : « Voici le marié, sortez à sa rencontre ! » 7 Alors toutes ces vierges se réveillèrent et préparèrent leurs lampes. 8 Les folles dirent à celles qui étaient avisées : « Donnez-nous de votre huile, nos lampes s'éteignent ! » 9 Celles qui étaient avisées répondirent : « Il n'y en aurait jamais assez pour nous et pour vous ; allez plutôt vous en acheter chez ceux qui en vendent ! » 10 Pendant qu'elles allaient en acheter, le marié arriva ; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. 11 Plus tard, les autres vierges arrivèrent aussi et dirent : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! » 12 Mais il répondit : « Amen, je vous le dis, je ne vous connais pas. »
13 Veillez donc, puisque vous ne connaissez ni le jour, ni l'heure.

Cantiques
- J’ai soif de ta présence (ARC 626) - https://youtu.be/i2epA9mnTKs
- Dieu est bon (ARC 726) - https://youtu.be/BHBsdgONpgE

Prédications
        Lauriane
Hâte et Sagesse
Voilà deux termes qui pourraient bien faire l’enjeu de ce texte.
 
Cette parabole nous raconte l’histoire de dix femmes qui, toutes réunies autour d’une même attente, celle de l’époux, se préparent à l’accueillir et se faire connaître de celui-ci.
Elles se préparent à entrer avec lui dans la salle des noces.
Et c’est de leur réaction qu’une distinction sera faite : cinq d’entre elles seront « avisées » et les cinq autres « folles ».
 
Il est d’habitude de lire cette parabole comme une description du bon et du mauvais chrétien, comme un appel à anticiper et à prévoir l’attente, à être comme ces jeunes filles avisées : prêtes. Il est aussi d’habitude de décrier la hâte et la négligence des cinq jeunes filles insensées.
Cependant, le début de notre texte nous invite à voir au-delà : « le Royaume des cieux sera semblable à dix jeunes filles ». Le Royaume des cieux ne se limite pas aux cinq jeunes filles avisées mais il est comparable à ces dix jeunes filles, les dites avisées et les dites folles.
 
C’est ainsi que le Royaume se compose de tout humain qui fait le déplacement, qu’il soit prêt ou qu’il soit en retard, celui qui sait et qui connait le chemin, et celui qui ne sait pas et qui ignore la bonne marche à suivre. C’est ainsi que, nous, lecteurs de cette parabole, nous pouvons nous reconnaitre à la fois dans la sagesse de ces femmes prévenantes mais aussi dans la folie des autres, plus impulsives.
 
Il est vrai cependant que l’histoire nous laisse une interrogation concernant l’avenir de ces cinq vierges folles. Exclues de la salle des noces, que deviendront-elle ? l’époux les laissera-t-il finalement entrer ? Que signifie alors faire partie du Royaume pour ces jeunes femmes qui attendent à la porte ?
 
La réponse me semble résider dans la symbolique de ce texte et tout particulièrement celle de l’huile. Cet élément qui semble ne pas pouvoir se partager. Antoine Nouis nous propose de comprendre l’huile comme la présence de l’Esprit Saint. Présence qui ne dépend pas de nous et sur laquelle nous n’avons aucun contrôle. Présence qui apporte clarté et discernement dans les temps d’obscurité. En effet, certains perçoivent l’importance de l’Esprit et s’en munissent immédiatement comme les premières jeunes filles alors que d’autres doivent cheminer encore pour réaliser son essentiel. Et c’est ce que réaliseront les jeunes filles insensées lorsque leur chemin les mènera à trouver l’huile. Cela n’en fait pas des personnes moindres que les cinq autres jeunes filles puisqu’elles aussi font parties du Royaume, leur chemin est seulement différent.
 
Ce texte soulève autant de questions qu’il donne de réponses. En effet, il semble tellement plus évident de choisir le regard binaire qui propose de trouver le bon exemple et de condamner le mauvais. Cependant, le texte nous propose une ouverture certaine sur le regard que nous posons sur les jeunes filles insensées. Avec du recul, il peut nous arriver de trouver nos choix peu pertinents, peu sages, etc. cela n’empêche en aucun cas 1. De trouver de l’huile c’est-à-dire d’être touché par l’Esprit de Dieu 2. De faire partie du Royaume c’est-à-dire vivre sa propre relation avec Dieu, faire partie de ses enfants.
 
Il est cependant important de mentionner que la logique des paraboles s’éloigne souvent de notre propre logique et nous invite la plupart du temps à effectuer un déplacement. Le déplacement en question ici est sans doute celui d’accepter de percevoir les cinq vierges insensées comme des personnes en chemin qui avancent à la rencontre de l’époux.
 
Dernière surprise du texte qui finit ainsi : « Veillez donc car vous ne savez ni le jour ni l’heure ». La question de notre parcours personnel n’est pas tant la question que l’exhortation à veiller. En effet, l’époux ne reproche pas aux jeunes femmes leur manque de prévenance mais plutôt leur absence à son arrivée. Ainsi, l’important pour le croyant est de toujours s’attendre à l’arrivée de l’époux, à la présence de Christ. Peu importe si nous ne connaissons pas l’histoire de la chrétienté, si nous ne maîtrisons pas tous les récits de la Bible, si nous ne comprenons pas les notions de la théologie moderne, peu importe si nous n’avons pas une longue expérience en église. L’important est de savoir que Christ nous rejoint dans nos vies, dans notre quotidien et que c’est dans le présent de nos existences que nous devons nous attendre à sa présence. Alors oui, veillons et soyons prêts à recevoir la Parole de Dieu aujourd’hui et maintenant. Amen


        Nicole
Je dois avouer que cette parabole pose comme un malaise dans mon esprit, elle me rattache trop à ce que nous sommes en train de vivre en ce moment, à savoir l’opposition perpétuelle entre différents groupes, le fait de monter les uns contre les autres… occupant ainsi les esprits à des luttes de pré carrés au lieu de penser au bien commun. Ça occupe de chercher tout ce que l’autre a pu faire pour que nous en arrivions à cette situation de reconfinement, ça évite surtout de réfléchir. Autant au mois de mars, on sentait une solidarité générale, autant ces derniers jours, nous assistons à un chacun pour soi… chacun pour soi mais en pointant tout de même l’autre du doigt !
Et de façon moins dramatique, la parabole et l’actualité se répondent de par la question des réserves à faire ! Si 5 des jeunes femmes de la parabole ont fait une petite provision d’huile pour ne pas en manquer durant la nuit afin d’accueillir dignement le marié, les français du 21ème siècle font des réserves de papiers toilettes et de pâtes afin de… et bien, je ne sais pas pourquoi.

Revenons au récit de cette parabole. 10 vierges attendent l’arrivée du marié. Il était de coutume que le soir du mariage, hommes et femmes mangent séparément et que par la suite, la femme attendait son époux entourée de jeunes filles. L’époux, l’épouse, c’est une terminologie reprise par Paul dans son Epître aux Ephésiens pour signifier la relation entre Dieu et l’Eglise, son peuple.
Nous avons donc la correspondance pour le marié et les jeunes filles, qu’en est-il de l’huile? Elle servait à réaliser des onctions et symbolisait ainsi l’Esprit saint.

Maintenant, nous pouvons nous étonner du comportement des uns et des autres : tout d’abord, le marié qui se fait attendre. C’est le jour de son mariage et lui, il traine, a-t-il vraiment envie de retrouver son épouse? Ce n’est pas très engageant comme comportement. Et lorsqu’il arrive, il manque quelques jeunes filles, mais cela ne le dérange pas… et lorsque ces dernières tapent à la porte, il préfère les laisser dehors, peu importe qu’elles l’aient attendu toute la nuit.

Les jeunes filles… elles sont donc divisées en 2 groupes : les censées et les folles.
Les folles ne sont tout simplement pas prévoyantes. Elles n’ont pas pensé que l’époux pouvait être aussi peu respectueux de la mariée et les voila à court d’huile. Alors, naïvement, elles quémandent un peu de cette précieuse huile auprès de leurs compagnes d’attente. Elles se précipitent chez le marchand, mais trouvent la porte fermée à leur retour. Finalement, elles sont peut-être « folles », « insensées », mais j’ai aussi envie de voir en elles des jeunes femmes optimistes qui ont confiance en l’humanité et qui seront déçues.

Les avisées ont anticipé le retard de l’époux, elles ont fait des réserves. Elles sont prêtes à attendre toute la nuit si besoin. Et elles ont bien fait car le marié est très en retard. Et quand il se décide enfin à arriver, elles ne montrent aucune pitié pour leurs consoeurs de noces : non, elles ne donneront pas une once d’huile à ces inconscientes. C’est leur huile, elles n’avaient qu’à prévoir le coup. Impossible de partager cet essentiel du moment. Au mieux leur donnent-elles un conseil peu avisé : allez donc acheter un peu d’huile… Oui, mais voila, le temps de la course et la porte se retrouve fermée de l’intérieur : les insensées ne sont plus de la noce!

Non, elle n’est pas facile cette parabole, car celles à qui on donne raison, ont des airs de pestes, le marié, qui n’est autre que Jésus, a un comportement fort déplaisant et finalement, les plus touchantes sont des ‘folles’.

Pourtant cette parabole n’est qu’un message aux premiers disciples qui ont entendu qui s’attendent au retour imminent du Christ après sa mort et sa résurrection. D’ailleurs, nous aurions très certainement été dans la même attente puisque quelques versets auparavant, Jésus annonce : « Amen, je vous le dis, cette génération ne passera pas que tout cela n’arrive » (24, 34).
Mais voila, Jésus revient quelque peu sur son annonce et la figure du marié arrivant en plein milieu de la nuit nous dit qu’il se peut que ce retour ne soit pas pour tout de suite. Oui, il prépare les disciples : entre l’aujourd’hui de la rencontre avec Jésus et le demain de son retour, il y aura des heures, des années, des siècles… des millénaires. Et ce temps, il va falloir l’habiter… à nous de choisir la façon dont nous allons le vivre. Oui, il faut veiller, mais voyez, toutes les jeunes femmes s’endorment, il ne s’agit donc pas de rester ‘éveillés’, mais d’être vigilants à notre vie dans ce monde en notre temps. Il s’agit également de prévoir l’imprévisible, comme ces ‘avisées’ qui avaient anticipé l’impossible retard de l’époux.

Alphonse Maillot, dans son commentaire de cette parabole, interprète le conseil de Jésus à son Eglise ainsi : « Certes, vous êtes le cortège nuptial du Fils de l’homme, certes vous devez vivre dans l’attente et dans l’espérance de son retour. Seulement vivez pleinement chacun des jours qui vous sont donnés en attendant. Vivez-les à la fois comme si le Christ pouvait revenir demain, mais aussi comme s’il devait venir beaucoup plus tard. Sachez donc être des gens qui espèrent vraiment, mais aussi qui sont présents à leur présent. Des hommes pleins de foi, et pleins de prudence. Des hommes que demain ne rend pas étrangers à leur aujourd’hui, et aussi des hommes que leur présent n’aveugle pas sur leur avenir. Des gens qui ont la prudence d’être présents au monde contemporain, et qui gardent l’espérance du monde à venir. Ou finalement des gens qui nourrissent de l’espérance à propos du monde contemporain, parce qu’ils attendent avec une vraie prudence le monde à venir. Soyez à la fois de vrais hommes et de vrais croyants » - hommes et femmes, il va sans dire !

Enfin, et c’est là qu’Alphonse Maillot, en commentant cette parabole du 1er siècle dans les années 1970, nous rejoint dans notre situation inédite de confinement : oui, entre l’aujourd’hui des disciples et le retour du Christ, il y aura un temps, plus ou moins long, un temps qu’il appelle ‘Temps de l’Eglise’, un temps où « il faudra inventer une conduite originale et résoudre de nombreuses difficultés que tous les chrétiens ne sauront résoudre… Il ne sera pas facile à l’Eglise de trouver sa vraie place, sa vraie vocation ».
Oui, le défi est là pour nous aussi : penser de nouvelles façons d’être Eglise, d’être communauté, à distance. Mais aussi d’avoir une parole pour nos contemporains, une parole d’espérance. Elle n’est pas forcement une parole qui se crie sur la place publique, dans les studios de télévision. Non, elle est aussi et surtout une parole qui se susurre à l’oreille de l’ami qui va mal, de l’enfant qui ne comprend pas, du voisin qui s’inquiète. Amen

Confession de foi
Je crois en Dieu qui est le Père de tous les hommes et qui leur a confié la terre
Je crois en Jésus-Christ qui est venu pour nous encourager et pour nous guérir, pour nous délivrer des puissances et pour nous annoncer la paix de Dieu avec l’humanité.
Il s’est livré pour le monde. Il est au milieu de nous le Seigneur vivant.
Je crois en l’Esprit de Dieu qui travaille en tout homme de bonne volonté. Je crois en l’Eglise, donnée comme signe pour toutes les nations, armée de la force de l’Esprit et envoyée pour servir les hommes.
Je crois que Dieu, à la fin, brisera la puissance du péché en nous et en tout être humain. Je crois que l’homme vivra de la vie de Dieu pour toujours.
Amen

Cantiques
- Je crois en toi (ARC 566) - https://youtu.be/jgwt8JUFTFc
- Je crois et j’espère - https://youtu.be/s5kbblN2I6k

Annonces
- Jeudi 5 novembre a eu lieu le service d’action de grâce à l’occasion du décès de Mme Odette Brunner à Aix-les-Bains. Nos pensées et prières accompagnent sa famille dans ce temps de deuil.
- Vous pouvez toujours nous contacter pour vous-même ou pour d’autres que vous savez intéressés aux coordonnées suivantes :
pasteur.roullandrupp@orange.fr - 0667885833
lcronfalt@gmail.com - 0688746783

Offrande
Ton écoute bienveillante, Seigneur, accompagne notre quotidien. Nous partageons la moisson de notre labeur avec joie. Présentons notre offrande pour la vie de notre Eglise. Amen

Pour que votre générosité puisse se concrétiser vous pouvez :
Faire un virement sur le compte de l’Eglise IBAN : fr76 1810 6008 1083 1329 8805 026 BIC : AGRIFRPP881
Adresser un chèque à l’ordre de l’E.P.U. Savoie au trésorier : Philippe DUBLED, l’Eden Parc, 11 rue Lamartine, 73100 Aix les Bains.
Merci à toutes et à tous de votre générosité.
Daniel Claret, trésorier EPUS

Intercession
Intercédons auprès de Dieu.
Pour le monde entier, pour tous les hommes, nos frères, toutes les femmes, nos soeurs,
pour tous les peuples de la terre et pour ceux qui les gouvernent,
pour la paix entre les peuples,
pour notre pays et pour notre ville;
    nous te prions, Seigneur.
Pour ton Eglise universelle,
pour son unité, pour toutes les paroisses,
pour la paroisse où nous vivons,
pour tous les mouvements de jeunes ou d’adultes,
pour les institutions, les oeuvres, les services,
pour les communautés, pour tous les ministères,
    nous te prions Seigneur.
Pour les nouveaux baptisés et les catéchumènes,
pour les malades et les souffrants,
pour les foyers et les isolés,
pour nos parents et nos amis,
pour les jeunes et les vieillards,
pour les opprimés et les persécutés,
    nous te prions, Seigneur.
C’est avec confiance que nous t’adressons toutes nos prières, toi qui nous exauces au-delà de ce que nous demandons ou pensons, toi à qui nous adressons cette prière :
 
Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. 
Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire pour les siècles des siècles. Amen
 
Envoi
Ne perdons pas courage, car, même si notre être extérieur se détruit, notre être intérieur se renouvelle de jour en jour. Et ainsi, nous regardons non pas aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles, car les choses visibles sont temporaires, et les invisibles éternelles. (2 Co 4,5)
 
Bénédiction
Que le Seigneur vous bénisse et vous garde!
Que le Seigneur fasse rayonner sur vous son regard et vous accorde sa grâce!
Que le Seigneur porte sur vous son regard et vous donne la paix.
Amen
 
Cantiques
- Grandes et merveilleuses - https://youtu.be/VFSEis9DClA
- Prends ma main (ARC 619) - https://youtu.be/YLrxtUjgHzc 

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